Discussion:
ICT werk uitbesteden in India..
(te oud om op te antwoorden)
marc
2012-03-05 21:35:37 UTC
Permalink
Zouden we het goed vinden,

- een begrotingsdeficit creeren, door uit te besteden (de staat als grootste
klant)

- Een lagere omzet creeren door uit te besteden (de beleggers als grootste
gekken ...)

We gaan hier de post opsplitsen om werk te creeren? (de beleggers die van
100km er 500 gaan maken...)



Économie Aujourd'hui à 0h00
«Thales veut délocaliser un plan social»



RécitLes syndicats soupçonnent le groupe de vouloir céder une de ses
branches à GFI, qui sous-traiterait ensuite en Inde.
Par CHRISTOPHE ALIX

C’est un conflit social hors norme. Un conflit larvé, qui dure depuis plus
de quatre mois, sans véritable grève ni suppressions d’emploi directes en
jeu et dans un milieu constitué à 95% de cadres pas vraiment rompus aux
joutes sociales. Il met aux prises la direction d’un grand groupe
industriel, Thales, convaincu que l’avenir est à l’externalisation des
activités «non stratégiques», et des salariés qui refusent cette
perspective, synonyme selon eux de déclassement, de chômage et de
délocalisation offshore à brève échéance. Un conflit à haute tension aussi
pour l’Etat, premier actionnaire avec 27% du capital, avant la
présidentielle. Voilà pourquoi le projet de cession par la société Thales
Services de ses activités «BUS» (pour Business solutions) et de ses 581
salariés est un cas d’école.

«Passerelles». L’affaire débute en octobre, lorsque la direction annonce la
mise en vente de cette branche spécialisée dans l’informatique de gestion et
les «systèmes d’information» d’entreprise. Une branche dont le chiffre
d’affaires, en légère baisse, a atteint 75 millions d’euros en 2011. Elle
assure la gestion informatique de Thales (40% de son activité), mais
travaille aussi de plus en plus pour des clients extérieurs, principalement
Airbus et le secteur des banques et de l’assurance. A la différence des
autres métiers informatiques du groupe centrés sur des activités dites
«critiques», comme la cybersécurité ou la fourniture de logiciels embarqués
- dans les avions de ligne par exemple -, Thales considère que cette
activité, trop éloignée de son nouveau cœur de métier, est «non
stratégique». Un constat réfuté par les syndicats. «Il y a énormément de
passerelles entre l’informatique dite "technique" et nos métiers, explique
Olivier Gilon, secrétaire du comité d’entreprise et délégué syndical CFDT.
On travaille sur des projets communs et la frontière est bien plus perméable
qu’ils ne le disent. Même si nous quittions Thales Services, la société
continuerait, par exemple, à s’occuper de systèmes d’information. On ne
comprend pas bien cette discrimination.»

Contestée sur le fond, l’opération l’est également sur la forme. Car, après
des mois de recherche, Thales n’a trouvé qu’un acheteur intéressé : d’une
taille plutôt modeste au regard des géants du secteur comme Sopra ou
Capgemini, GFI a donné son accord pour un rachat à prix cassé, autour de 20
millions d’euros. Pour cette société de services informatiques, pas même
référencée parmi les sous-traitants du groupe, l’opération permettrait de
prendre sous contrat la gestion informatique de Thales. «C’est leur vraie
motivation, explique Olivier Gilon. Thales essaie de délocaliser un plan
social chez GFI, puisque c’est impossible de le faire quand on continue à
recruter entre 300 et 1 000 ingénieurs par an.»

Pour les syndicats, l’avenir low-cost des 581 salariés de BUS, mieux payés
et plus âgés que ceux de GFI, est tout tracé en cas de cession. Et il est
sombre : «Ils ne sont engagés sur l’absence de plan social que sur une durée
de dix-huit mois, explique-t-on à l’intersyndicale. Ils auront toute liberté
de nous pousser dehors ensuite, en appliquant leur convention collective du
Syntec informatique, moins favorable en matière d’indemnités de licenciement
que celle de Thales.» Selon les syndicats, la délocalisation suivra. Un chef
de projet de la société indienne HCL, le partenaire de GFI pour la mise en
place de contrats offshore, est récemment venu chez Thales pour explorer les
possibilités de sous-traitance de certaines activités. «Comment voulez-vous
qu’on ait confiance en leur projet, s’émeut un salarié. Certains d’entre
nous ont passé plus de vingt ans, parfois trente ans de leur vie au service
de la boîte, on se sent trahis, niés dans notre travail. On nous dit qu’on
doit être rentables, mais, quand on gère l’informatique de la paie ou du
contrôle de gestion, on est par définition un centre de coût.»

Lapsus. Lors d’une audition à l’Assemblée en janvier, Luc Vigneron, PDG de
Thales, a voulu rassurer en affirmant qu’il ne s’agissait pas d’une question
de «compétitivité individuelle» mais de «taille critique» et que cette
cession visait «tout simplement à assurer un avenir à moyen et long terme à
cette activité». Quelques semaines plus tôt, le même avait déclaré aux
salariés de BUS, à Valence (Drôme) : «Ne sous-estimez pas votre savoir-
faire, je suis persuadé que vous retrouverez du travail facilement.» Lapsus
révélateur ? Une évidence pour les syndicats, qui ont fini, après des mois
de porte close, par obtenir l’ouverture de discussions. «Ils ont été surpris
par notre résistance, peu fréquente dans un milieu de cadres, note Olivier
Gilon. Ils pensaient que cela pourrait se faire très vite en nous mettant
devant le fait accompli.»

La période est peut-être propice à une accalmie : ce n’est pas vraiment le
moment pour l’Etat de laisser dégénérer cette affaire en un conflit social
dur. Après un premier contact très houleux mi-février, direction et
syndicats ont prévu de se revoir aujourd’hui. «On se parle et c’est positif,
mais je ne pense pas qu’ils aient renoncé, d’autant qu’ils ont d’autres
projets de cession dans les cartons, conclut Olivier Gilon. La question,
c’est qu’on ne peut pas nous traiter comme ça. Dans un grand groupe comme le
nôtre, à l’actionnariat stable et aux résultats plus qu’honnêtes, on doit
pouvoir régler proprement les conséquences de ses choix stratégiques.»
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m***@gmail.com
2013-10-29 19:30:31 UTC
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uitbesteden kan momenteel goed begeleid worden om zo de valkuilen te ontlopen. Kijk eens op onlinedeskconsultancy.nl
marc
2013-11-01 19:11:42 UTC
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Post by m***@gmail.com
uitbesteden kan momenteel goed begeleid worden om zo de valkuilen te ontlopen.
Kijk eens op onlinedeskconsultancy.nl
En als je je lening niet kunt afbetalen voor je computersoftware in India ...

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